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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 16:23

      Souffle d'Orient

 

* à Nîmes : les cours ont repris depuis le 5 septembre

> mercredi et vendredi de 18h à 19h

3 rue Henri Poincaré

à l'école d'Arts martiaux Hu Chuan Kung Fu  (kung fu, tai ji quan, mulan quan, méditation...)

 


* à Vergèze : les cours reprennent le 17 septembre

> le mardi de 18h à 19h15

au centre socioculturel Marcel Pagnol


cours d'essai offert


Le Tai chi chuan est un art martial chinois qui vise entre autre, à améliorer la souplesse, à renforcer le corps et à maintenir une bonne santé physique, mentale et spirituelle. Il met l’accent sur la maîtrise de la respiration. Il apaise le mental et améliore la concentration. Il favorise aussi une meilleure prise de conscience de soi et de son environnement. Il est conseillé pour le stress, l'agitation ou encore l'hyper-activité.

L’extrême lenteur d’exécution et le relachement permettent de déceler les blocages. De plus, la prise de conscience du transfert, lent et précis, du poids du corps d’une jambe à l’autre et le jeu d’alternance des bras et des jambes concrétisent parfaitement la pensée chinoise basée sur l’équilibre dynamique des forces Yin et Yang.

 

tai-chi-chuan-tui-shou.jpg

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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 09:39

"Lorsque des femmes endormies s'éveillent, cela fait bouger des montagnes."

 

guerriere-chinoise.jpg

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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 09:37

Garde un arbre vert dans ton coeur


et l'oiseau chanteur, peut-être,


viendra s'y poser.

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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 09:24

EXTRAIT


"La vie sauvage et la Femme Sauvage sont toutes des espèces en danger.

Au fil du temps, nous avons vu la nature instinctive féminine saccagée, repoussée, envahie de constructions. On l'a malmenée, au même titre que la faune, la flore et les terres sauvages. Cela fait des milliers d'années que, sitôt que nous avons le dos tourné, on la relègue aux terres les plus arides de la psyché. Au cours de l'histoire, les terres spirituelles de la Femme Sauvage on été pillées, brûlées, ses tanières détruites au bulldozer, ses cycles naturels forcés à suivre des rythmes contraires à la nature pour le bon plaisir des autres.

Ce n'est pas un hasard si les étendues sauvages de notre planète disparaissent en même temps que la compréhension de notre nature sauvage profonde s'amoindrit. On voit aisément pourquoi les vieilles forêts et les vieilles femmes sont tenues pour des ressources négligeables. Et si les loups, les coyotes, les ours et les femmes sauvages ont le même genre de réputation, cela n'a rien d'une coïncidence. Tous correspondent à des archétypes instinctuels proches. C'est pourquoi on les considère à tort, les uns et les autres, comme peu amènes, fondamentalement dangereux et gloutons.

Ma vie et mon travail en tant qu'analyse jungienne, poétesse et cantadora, gardienne des vieilles histoires, m'ont appris que l'on pouvait restaurer la vitalité faiblissante des femmes en se livrant à des fouilles " psycho-archéologiques " des ruines de leur monde souterrain. Ces méthodes nous permettent de retrouver les voies de la psyché instinctive naturelle et, à travers sa personnification dans l'archétype de la Femmes Sauvage, de discerner de quelle manière fonctionne la nature innée de la femme. La femme moderne est un tourbillon d'activité. On lui demande d'être tout, pour tout le monde. Il y a longtemps que la vieille sagesse n'a plus cours.

Le titre de cet ouvrage " Femmes qui courent avec les loups " histoire et mythes de l'archétype de la Femme Sauvage, est né de mon étude de la biologie animale, en particulier des loups. Ce qu'on sait des loups Canis Lupus et Canis Rufus présente en effet des similitudes avec l'histoire des femmes, tans sur le plan de l'ardeur que du labeur.


Les loups sains et les femmes saines ont certaines caractéristiques psychiques communes : des sens aiguisés, un esprit ludique et une aptitude extrême au dévouement. Relationnels par nature, ils manifestent force, endurance et curiosité. Ils sont profondément intuitifs, très attachés à leur compagne ou compagnon, leurs petits, leur bande. Ils savent s'adapter à des conditions perpétuellement changeantes. Leur courage et leur vaillance sont remarquables.

(...)

Ma génération d'après-guerre grandit à une époque où les femmes étaient infantilisées et traitées comme une propriété privée. Elles restaient en jachère, mais Dieu merci, le vent apportait toujours de mauvaises herbes... Même si ce qu'elles écrivaient n'avait pas l'imprimatur, elles posaient leurs jalons. Même si ce qu'elles peignaient n'était pas reconnu, cela leur nourrissait l'âme. Il leur fallait mendier les instruments et l'espace nécessaire à leur art et si elles ne les obtenaient pas, elles s'installaient dans les arbres, dans les grottes, les bois, dans les placards.

Elles avaient à peine le droit de danser. Aussi dansaient-elles dans les forêts, là où personne ne pouvait les voir, ou dans les sous-sols, ou en allant vider la poubelle. Se parer était suspect. Un corps orné, un vêtement séduisant, accroissaient le danger d'être victime d'une agression, sexuelle ou non.

C'était une époque où les parents qui se montraient violentS envers leurs enfants étaient simplement qualifiés de stricts, où l'on appelait " dépression nerveuse " les profondes blessures de l'esprit des femmes outrageusement exploitées, où l'on disaient " gentilles " les jeunes filles et les femmes étroitement tenues, corsetées, muselées, et où l'on étiquetait comme " mauvaises " les femmes qui desserraient quelque temps l'étau.

Aussi, comme beaucoup de femmes avant et après moi, ai-je vécu comme une créature, una criatura, déguisée. Comme mes soeurs, j'ai trébuché sur mes hauts talons et je suis allée chapeautée à l'église. Souvent pourtant ma queue fabuleuse dépassait de dessous l'ourlet de ma robe et mes oreilles pointaient jusqu'à faire glisser mon chapeau.

Je n'ai pas oublié la chanson de ces années noires, hambre del alma, le chant des âmes affamées. Mais je n'ai pas non plus oublié les joyeux canto hondo, le chant profond, dont les paroles nous reviennent quand nous travaillons à réclamer notre dû, celui de l'âme.

Telle une piste qui, dans la forêt, se fait de plus en plus étroite jusqu'à sembler disparaître, la psychologie classique tourne court lorsqu'il s'agit de la femme créatrice, la femme douée, la femme profonde. Elle est souvent peu bavarde ou carrément silencieuse sur les questions d'une grande importance pour les femmes : celles de l'archétype, de l'intuition, du sexuel et du cyclique, des âges de la femme, de sa façon d'être, de son savoir, de la flamme de sa créativité. (...)

On ne peut traiter les questions de l'âme féminine en modelant la femme selon des critères d'une culture inconsciente, pas plus que ceux qui se prétendent les seuls détenteurs de la conscience ne peuvent lui donner une forme plus facilement acceptable, intellectuellement parlant. Non, c'est là ce qui a poussé des millions de femmes à se mettre en dehors de leur propre culture, à devenir des " outsiders ". Au contraire, le but doit être de faire recouvrer à la femme la beauté de ses formes psychiques naturelles.

Les histoires, les contes de fées, les mythes aiguisent notre vision des choses, en nous aidant à mieux les comprendre, de sorte que nous pouvons retrouver et suivre la piste tracée par la nature sauvage. L'enseignement des contes nous donne la certitude que la piste n'a pas disparu, qu'elle mène les femmes de plus en plus profondément au coeur de la connaissance d'elles-mêmes. Les traces que nous suivons toutes sont celles du Soi instinctuel, du Soi sauvage et profond.

Je l'appelle Femme Sauvage, car ces mots mêmes, " femme et sauvage ", produisent llamar o tocar a la puerta, les coups que frappe le conte de fées à la porte de la psyché féminine. Llamar o tocar a la puerta signifie littéralement qu'on joue d'un instrument dans le but d'ouvrir une porte. Autrement dit, on utilise des mots qui provoquent l'ouverture d'un passage. Quelles que soient le influences culturelles, toute femme comprend intuitivement les mots femme et sauvage.

Quand les femmes entendent ces mots, un vieux, très vieux souvenir s'éveille, la mémoire de leur parenté absolue, indiscutable, irrévocable avec la féminité sauvage. Ce lien peut s'être distendu du fait de notre négligence ou avoir été mis hors la loi par la culture environnante. Il a pu avoir été domestiqué à l'excès ou bien encore nous avons cessé de le comprendre. Mais même si nous avons oublié les noms de la Femme Sauvage, même si nous faisons la sourde oreille quand elle prononce le nôtre, dans la moelle de nos os, nous la connaissons, nous la désirons. Elle nous appartient et nous lui appartenons et nous le savons.

(...)

Ce goût du sauvage vient avec l'inspiration. On éprouve cette aspiration à la Femme Sauvage lorsqu'on croise une personne qui a établi cette relation sauvage. (...) Quand les femmes l'ont perdue et retrouvée, elles font tout pour la garder à jamais. Elles se battent pour cela, car avec elle leur vie créatrice s'épanouit, avec elle leurs amours gagnent en profondeur, en signification, en bien-être, avec elle les cycles de leur sexualité, de leur créativité, de leur travail se rétablissent. Elles ne sont plus les victimes désignées de la violence prédatrice des autres. Elles sont égales devant les lois de la nature, égales pour croître et lutter. Désormais, si elles sont fatiguées à la fin de la journée, c'est suite à des tâches satisfaisantes, non parce qu'elles étaient enfermées dans un travail, un état d'esprit ou une relation amoureuse étriqués. Elles savent instinctivement quand les choses doivent vivre et quand elles doivent mourir. Elles savent partir, elles savent rester.

En réaffirmant leur relation avec la nature sauvage, les femmes reçoivent le don d'une observatrice intérieure permanente, une personne sage, visionnaire, intuitive, un oracle, une inspiratrice, quelqu'un qui écoute, crée, réalise, invente, guide, suggère, qui insuffle une vie vibrante au monde intérieur et au monde extérieur. Quand les femmes sont dans la proximité de cette nature, il émane d'elles une lumière. Ce professeur sauvage, cette mère sauvage, ce mentor sauvage soutient envers et contre toute leur vie intérieure et extérieure. (...) La compréhension de la nature de cette Femme Sauvage n'est pas une religion. C'est une pratique. C'est une psychologie au sens strict du terme : psukhê/psych, âme et ologie ou logos, connaissance de l'âme. Sans elle, les femmes n'ont pas d'oreille pour l'entendre parler à leur âme ou pour écouter l'horloge de leurs propres rythmes internes. Sans elle, leur regard intérieur est occulté par une main d'ombre et elles passent leurs journées à s'ennuyer ou à souhaiter que tout soit différent. Sans elle, leur âme ne va plus d'un pas sûr.

(...)

Pour moi, tous les hommes et toutes les femmes sont nés avec des dons. Il n'en reste pas moins que l'on a peu décrit la vie psychologique et la façon d'être des femmes douées, talentueuses, créatrices. En revanche, on a abondamment écrit sur les faiblesses des humains en général et des femmes en particulier. (...)
Qu'englobe donc la Femme Sauvage ? Elle est, tant du point de vue de la psychologie archétypale que des anciennes traditions, l'âme féminine. Et pourtant, elle est plus encore. Elle est la source du féminin. Elle est tout ce qui est de l'ordre de l'instinct, des mondes visible et invisible – elle est le fondement. Nous recevons d'elle une cellule lumineuse où sont contenus tous les instincts, tous les savoirs dont nous avons besoin pour vivre. "

 

 

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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 15:44
L'association reprend ses activités !

* Les cours de Tai ji quan reprennent à partir du 5 septembre à Nîmes,
et à partir du 15 septembre à Vergèze et Aigues-Vives.

SAMEDI 1er SEPTEMBRE 
Portes Ouvertes du centre Socioculturel de Vergèze 
de 9h30 à 13h

* Le programme des stages et des ateliers arrive bientôt...

* Aurélien et Marion vous accueillent en cabinet pour des massages ou des soins d'Energétique Traditionnelle Chinoise.

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Saison de l'automne / le métal (金屬  jīn shǔ), le Poumon, le blanc.

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29 août 2012 3 29 /08 /août /2012 18:11

 

chakra

 


 

La thérapie holistique considère l'individu dans sa globalité. Elle traite nos dimensions à la fois physique, psychique/émotionnelle et énergétique. Car tout est lié et en intéraction. 

Les médecines traditionnelles ancestrales en sont un beaux exemple (Ayurveda, Médecine Traditionnelle chinoise, chamanisme...) et les médecines scientifiques récentes  telle que la médecine quantique considèrent également la globalité.

 

Le physique est notre base, nos racines. C'est ce qui nous rattache à la matière. C'est notre notre incarnation. C'est la Terre.

L'« énergie » (Prâna, Qi, Ki, Présence/conscience...) est le principe vital, le souffle animant toutes choses. C'est le mouvement, la vie. C'est l'Homme.

Le psychisme est l'esprit. C'est ce qu'il y a de plus subtil, le Shen. Ca rassemble les notions d'inconscient, de subconscient, d'égo, de mental, d'âme... C'est le ciel.

 

L'esprit forme les idées, l'énergie les mets en mouvement et la matière les concrétise. Quand on retrouve un équilibre, en étant centré, ancré, on peut redevenir auteur, créateur de sa vie. Les choses se mettent en place car on est reconnecté à l'Univers.

 

 

symb homme      

Le symbole universel de l'Homme, comme l'arbre et l'univers :

ses bras - ses branches - le Ciel

le corps - le tronc - l'Homme

les jambes - les racines - la Terre


Qi.jpg
La calligraphie chinoise du Qi (comme une marmite) :
- en dessous, on peut voir le symbole de la céréale (du riz), une croix avec 4 grains, il représente la matière.
- le symbole du milieu est l'énergie de l'homme, le mouvement permis par la matière qui brûle.
- en haut c'est la vapeur du riz qui cuit, le degré le plus subtile de l'énergi, le Shen, l'esprit.

tai chi

symbole du Yin Yang, les 2 principes qui forment un tout (3)

etoilevc6.jpg

De même pour l'Hexagramme les principes féminin (1) et masculin (2) ou le visible (1) et l'invisible (2) (manifesté et le non manifesté) qui forment un tout (3).

 

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5 juillet 2012 4 05 /07 /juillet /2012 00:32

 

 

Les étoiles, ces guides intimes de mon cœur,

illuminent les nuits sombres de mon chemin.

Vénus étincèle sa douceur en mon sein,

et sur les secrets de la vie, comme une soeur.

Mon corps vibrant danse avec magie et bonheur,

l'Univers est à l'intérieur, je le rejoins.

 

Marion Derveaux, août 2012.

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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 14:45

 

  •  
    Souffle d’Orient et Mamayaya vous proposent l'atelier Lunes rouges,
    lundi 14 mai 2012 de 18h à 21h,
    à Nîmes dans un petit coin de nature.

    Un espace, un moment, pour les femmes, autour des menstruations.
    Sang magique, créateur de vie.

    Phase : l'âge de la femme réglée ou l'âge de la mère, la fécondation, la pleine lune. 


    * Se réapproprier nos menstruations pour mieux accueillir notre pouvoir créateur.
    * Méditation avec la Lune et la Terre.
    * Création d’un objet symbolique pour nos lunes (bourse pour les pierres, serviettes ou coupe menstruelle).
    * Partage de douceurs « rouges » (thé, gâteau, fruits).
    * Explication des menstruations, des cycles féminin et lunaire.
    * Conseils (pierres, plantes…), lectures, tirages de carte.

    Partage entre femmes, dans la nature autour d'un repas rouge !
    Participation 10 euros 
    (réservation demandée : 06 80 10 65 51)

    http:// lesenchanteresses.over-blog.com/
    www.souffledorient.net
    www.mamayaya.org

    P1080268.JPG

 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 12:33

 

Enregistrement


« L’énergie de la femme doit être honorée et manquer de respect à la femme revient à manquer de respect à la Tonanzina, à la Terre Mère.
Il est vital que les femmes reprennent leur pouvoir. Elles ont une connexion naturelle avec la Terre car elles enfantent et donnent vie au fruit du Ciel et de la Terre.
Attention cependant à ne pas rentrer dans des dérives féministes. La femme a autant besoin de l’homme qu’il a besoin d’elle. Si le Créateur a créée ces deux polarités d’énergie c’est parce qu’elles sont complémentaires et chacune a besoin de l’autre pour être dans le tout, dans l’unité.

L’humanité ira mieux si l’énergie féminine se réveille et s’active en chacun pour s’harmoniser avec l’énergie masculine. »

Selon les Ah Men, les grands prêtres Mayas, l’humanité traverse une période où Dieu serait plus féminin car nous sommes amenés à rentrer dans le cœur du centre de la galaxie, à pénétrer de nouveau dans la matrice cosmique pour renaître. Cette nouvelle naissance qui annonce l’arrivée dans le 6e soleil se fait également et surtout à l’intérieur de chacun. Chaque être vivant a sa part à jouer et est responsable de ce qu’il met en place pour changer et évoluer afin de renouer avec la Source en soi.

Message d’une prêtresse maya pour ses sœurs :
« Chaque femme porte en elle la connexion directe avec la Déesse, avec la Mère éternelle, la mère divine, la mère de tous, l’origine de la création. Il est essentiel qu’en cette période de grand changement la reconnexion se fasse à l’intérieur dans le cœur de chaque femme.
La lignée des prêtresses a toujours été là pour initier les femmes à renouer avec cette énergie sacrée en chacune. Le temps est venu d’œuvrer tous ensemble pour ce grand réveil collectif.
Cette nouvelle ère commence avant tout dans le cœur où nous sommes invitées à réveiller et laisser exprimer qui nous sommes réellement. Dieu a caché un trésor infini dans le cœur et ce nectar divin se trouve en chaque être. Pour s’harmoniser avec cette nouvelle conscience qui s’éveille il suffit de réveiller cette énergie en soi et de vibrer dans le cœur de diamant afin d’Etre.
Là, tout est. Il n’y a rien à chercher ou à vouloir, il suffit d’être dans l’accueil en toute confiance. Ainsi chaque être deviendra co-créateur avec l’Univers, avec Dieu.
En cette grande période de changement, la femme joue un rôle essentiel. Il lui revient de montrer le chemin avec son cœur. Le moment est venu de laisser derrière les peurs, les doutes pour que chaque femme incarne réellement la Déesse qui se trouve en elle. Il est temps également qu’elle lâche sa quête de reconnaissance et de pouvoir car tout est déjà là, en elle, il lui suffit de renouer avec son énergie sacrée.
La femme a une grande mission, par son énergie, elle invite les cœurs à s’ouvrir en toute confiance, telle une fleur qui éclôt dans la lumière.
Pour le bien-être de l’humanité, il est essentiel que les femmes retrouvent leur pouvoir et leur liberté afin de pouvoir donner vie à qui elles sont réellement. Chaque femme est resplendissante comme la lune qui brille parmi les étoiles. Ce qui compte n’est pas la quantité de maquillage ou la marque que vous mettez mais de renouer avec l’énergie sacrée féminine en vous. C’est là que se trouve votre réelle beauté et celle-ci est éternelle. Lorsque la femme renoue avec la source sacrée de la vie en elle, l’âge n’a plus d’effets sur elle et elle est toujours belle. Tel est le secret de la femme. »

La délicieuse essence de la déesse est douce, lice, aimante. Elle caraisse et nourrit. Sa seule présence apaise et soigne.
A vous les femmes, vous êtes des flammes de lumières qui êtes venues en cette période charnière de l’humanité pour réveiller l’homme à la douceur, à la compassion et à l’amour.
Par votre lumineuse présence apaisante et aimante vous apaisez les conflits et en sentant votre profonde vibration les hommes cessent leurs combats inutiles, les jeux de pouvoirs disparaissent progressivement. Grâce à l’amour et la douceur les énergies masculines de compétitivité, égoïsme, lutte et de pouvoir peuvent être transformées en amour, paix et lumière.
Votre mission n’est pas forcément facile mais elle est belle et lumineuse. Nos grands-mères qui ont déjà rejoint le Cosmos nous aident, nous accompagnent et nous guident. En vivant, partageant et sentant à chaque instant cette essence en vous, vous éveillez les cœurs. Respectez et écoutez votre corps car en lui se trouve la Déesse, cette énergie sacrée que vous portez en vous. Grâce à vous les fleurs du cœur de la déesse viennent se déposer sur terre et faire sentir la beauté de la Vie.
Dieu est autant masculin que féminin, il est les deux énergies à la fois et la femme a besoin de l’homme, tout comme il a besoin de nous. Ainsi va la vie. Regardez les plantes, pour qu’elles vivent et s’épanouissent ces deux énergies complémentaires doivent être présentes et il en va de même pour toute forme de vie.

Les femmes sont capables d’aimer totalement, elles peuvent sentir la pulsation de l’univers dans leur propre être car elles sont des déesses d’amour, des déesses qui sentent, perçoivent, respirent avec l’Univers dans tous ses aspects et toutes ses dimensions. Elles sont des déesses de la vie et par leur simple présence en étant en contact avec leur cœur, la vie fleuri.

Les cercles de femmes se reforment afin d’inviter les femmes à honorer leur pouvoir intérieur et leur essence divine. Sentez la présence de la Mère cosmique présente et bienveillante avec vous à chaque instant, à chacun de vos pas et gardez précieusement dans votre cœur la résonnance avec vos sœurs les étoiles et l’amour infini de l’Univers et de la Terre Mère. »

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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 16:52

samedi 7 avril 

9h30 -12h

372882 175125582574705 1246655532 n

 

 : 45 rue Notre Dame.

combien : 25 euros (20 euros pour les adhérents)

 comment : apporter un tapis de sol et une couverture.

Inscription demandée : 06 80 10 65 51


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